Un petit point sur l'avancée de "The Promised Neverland", une série coup de coeur...

The Promised Neverland 8



Titre : The Promised Neverland 
Tome : 8
Scénario Kaiu Shirai
Dessin Posuka Demizu
Éditions Kazé
Collection Shonen
Genre Manga fantastique, action, thriller
Publication 19 Juin 2019 (France)

Résumé de la série :
"Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de “Maman”, qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !"

Résumé du tome 8 :
"Pour rejoindre Goldy Pond, Emma et Ray doivent traverser une forêt infestée de démons enragés. Dans cette lutte de tous les instants, ils ne peuvent compter que sur l'aide de leur mystérieux guide. Mais les mène-t-il véritablement sur la piste de William Minerva... ou à leur perte ?"



Mon avis :

Ils en ont parcourut du chemin, ces 38 pupilles dont j'avais dressé le portrait dans un de mes articles le 15 aout dernier ! Emma est et reste toujours la leader de sa famille. C'est accompagné de Ray qu'elle est parvenu à conduire sa famille hors de l'orphelinat. Ainsi, ces derniers volumes de The Promised Neverland ne dressaient plus le portrait idyllique de l'orphelinat Grace Field House ou de l'énigmatique "Maman", mais celle de sombres forêts.


Pour ce qui est du tome 8, c'est encore une fois une lecture rythmé et pertinente qui m'a été offerte par ce nouveaux tome de "The Promised Neverland". Au cours du périple conduit par Emma, Ray et "le vioc", un protagoniste découvert dans le manga précédent, de nouveaux détails fleurissent. L'univers, déjà très bien construit au sein du manga prend de nouveaux aspects très intéressant ici. Des espaces, aux caractéristiques différentes, à la fois sombres et enfantins construisent une lecture agréable, mais pas des plus reposante pour autant. En effet, le style de Demizu Posuka regorge de jeux de lumières, d'angles de vues mais surtout de précision dans les détails, donc l'observation ne s'arrête jamais.


Cependant, l'histoire me semble ralentir de plus en plus au fils des livres. La rapidité de l'action des premiers volumes me manque. The promised Neverland 8 se centre sur peu de personnages malgré le fait que de nouveaux protagonistes entrent en scène à la fin du manga. L'histoire devient lassante, à mes yeux, car très voire trop centrée sur Emma, mais elle reste tout de même passionnante.

Emma n'évolue pas et garde toujours les mêmes objectifs. Biens que très loyaux et pertinents, ses idéaux et ses actes se répètent, tout comme l'histoire... Mais je suppose que cette répétition ne va pas durer et conduire à une suite plus diversifié, car on le sait tous, un manga c'est court. Et parfois on est obligé de ralentir l'histoire pour mieux l'engager dans le tome suivant. Je pense sincèrement que le volume 9 sera explosif, au regard de la fin du 8.
J'ai hâte de connaitre la suite et de voir les personnages évoluer ! Car ce manga reste l'une de mes meilleurs lectures du genre, et les auteurs parviennent parfaitement à me tenir en haleine ... de quoi être impatiente jusqu'au prochain tome !



  

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